One-shot

Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 00:38
  Petit one-shot pour patienter avant la prochaine mise à jour, c'est mon 1er lemon alors un peu d'indulgence merci.


                                                               

                                                               SI BIEN…

 

-Non…ne me touches pas…NON…j’ai dis non.

Il se débattait, ce jeune homme aux cheveux roux. Lui, l’amant, n’avait su attendre et avait voulu le prendre immédiatement mais le jeune homme n’était pas prêt.

-Mais tu m’aimes non ? Il lui prit les mains et les posa sur le mur où le jeune homme était adossé.

-Oui je t’aime mais ne me touche pas je ne suis pas prêt…pas maintenant.

L’amant collait son bassin sur celui de son vis-à-vis, il le mouvait en cadence sans cacher l’énorme proéminence que laissait apercevoir son jean moulant.

-Tu verras ça passera tout seul.

Il ouvrit le pantalon du jeunot, fit tomber son boxer, laissa sa main s’aventurer sur son entrejambe  et la caressa lentement. De longs gémissements sortaient de la bouche du jeune homme et l’amant ne semblait pas vouloir s’arrêter là. Il lâcha le sexe peu avant la jouissance, se prépara à introduire le sien dans l’antre de l’adolescent mais celui-ci le stoppa et le poussa.

-Non…non je ne veux pas, ne m’oblige pas à faire ça…je ne peux pas.

Des sanglots entrecoupaient sa voix mais l’amant ne s’en préoccupait pas seul son plaisir comptait et si ce rouquin l’aimait il allait devoir le supporter. Seulement ce soir-là, un élan de gentillesse le prit à la gorge et il s’obligea à le préparer pour qu’au moins il ne souffre pas trop. L’amant souleva les pans du tee-shirt du plus jeune et le lui retira pour laisser voir son torse musclé et imberbe. Il le lécha, le mordilla, le croqua jusqu’à ce que chaque parcelle de son abdomen soit imprégnée de son odeur et la marque de ses dents visible en profondeur.

Il ne voulait pas lui faire du mal juste prendre du plaisir. Après tout il avait joué avec lui pendant 2 mois et l’avait laissé l’aimer, il fallait bien une compensation.

Les mains de l’amant se baladaient sur tout le corps du plus jeune, venait titiller ses tétons, lui caressait le nombril. De nouvelles expériences, voilà ce qu’allait lui rapporter le rouquin qui lui continuait à hurler, pleurer et gémir sans attendre vraiment de réponses.

Le plus vieux l’embrassa de ses lèvres douces et sucrées que le rouquin avait adorées eu premier contact. Il s’en souvenait encore, c’était il y a deux mois à peu près et il était tombé amoureux de son côté mystérieux et de ses cheveux bruns qui lui tombaient sur le visage. Voilà où tout cela finissait, dans une rue sombre, violé par l’homme idéal. Quelle bêtise. Ce soir-là il pleurait son cœur détruit, hurlait sa peine et gémissait son plaisir. Quelle contradiction : prendre du plaisir alors qu’il se faisait violer. Décidemment jamais il n’arriverait à comprendre sa façon de penser.

L’amant s’agenouilla, l’ado paniqua : qu’allait-il faire qu’il n’avait pas encore fait ? Lorsqu’il lécha son membre, le jeune eut la réponse à sa question. L’amant suça le gland, lécha le sexe sur toute sa longueur et finalement le prit en bouche sous les râles puissants du dominé.

Après de long va et viens incessants, l’adolescent jouit dans la bouche de l’adulte. Celui-ci se releva et l’embrassa pour lui faire partager le fruit du plaisir que le jeune recracha aussitôt.

N’en pouvant plus, le plus vieux introduisit un doigt dans le corps du jeune qui cria de douleur puis ,une fois celui-ci habitué, un deuxième puis un troisième. Ses trois doigts de déplaçaient dans l’anus du rouquin à une vitesse folle, lui souffrait énormément mais ne criait plus. De toute façon c’était inutile.

Le violeur enleva ses doigts, positionna son sexe à l’entrée et le rentra d’un coup. Une longue plainte s’échappa des lèvres du jeune qui ne pouvait retenir sa douleur.

-Tu aimes ça… tu aimes ça hein DIS MOI QUE TU AIMES CA !!!!

-J’aime…oui…j’…aime

Pendant de longues minutes, le violeur fit des va et viens dans le corps de l’autre. Il sortait, re-rentrait, re-sortait etc.…

 Puis ils jouirent tous deux l’un par terre et l’autre entre les cuisses du jeune.

Ils tombèrent sur le sol, extenués, le rouquin pleurait alors que le violeur souriait. Quelle merde ! Il lui en a fait voir de toutes les couleurs ce con lui avait violé son intimité, lui avait prit son innocence en même temps que sa virginité. C’est sa fierté en moins que le jeune homme se lève retenu au poignet par son violeur.

-Ca t’a plu hein ?

-NON

-Mais si, dis moi que tu m’aimes

-JAMAIS VA TE FAIRE FOUTRE GROS CON

Le violeur se leva à son tour et prit le cou de l’adolescent

-Dis moi que tu m’aimes

-Je…t’…ai…me

Il lâcha légèrement la prise

-Dis moi  que tu es bien avec moi

-Je…su..is….SI..bi..en…avec…toi

Le violeur lâcha complètement sa prise et le jeune partit en courant pour rentrer chez lui.

L’adulte était content, le sourire aux lèvres il sifflotait dans les rues, heureux de sa petite besogne.

 

 

 Au passage bonne vacances à ceux qui sont déjà en vacance 
Bisoux

Par Mishu - Publié dans : One-shot
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 20:30

                                                   Le tableau

 

Londres, 1608

 

Le public acclama les deux jeunes garçons entrés sur scène. L’un vêtu en homme et l’autre en femme. Tout deux jouait respectivement les rôles de Roméo et Juliette.

Une foule de paysans et nobles s’agglutinait devant la scène et ne cessait de hurler le nom des deux protagonistes. Des « Walter » et des « Ivan » fusaient dans toute la salle.

Bien connu dans le monde théâtral, les deux jeunes hommes s’étaient faits un nom parmi les comédiens anglais du XVIIe siècle.

Walter, le travesti, avait été choisi pour le rôle de Juliette grâce à son allure androgyne à souhait. Des hanches et une taille fine, une carrure presque féminine. Ses cheveux blonds naturels étaient tellement longs que la perruque n’était même pas nécessaire. Des yeux bleus en amandes et des traits fins dessinaient son visage. Une touche de maquillage avait suffi et l’illusion était parfaite.

Ivan, lui, était un jeune français expatrié depuis maintenant six ans. Bruns aux yeux noisette il était l’opposé de Walter sous tous les plans. Son caractère brut contre la douceur de Walter et son physique assez basique ne faisait pas le poids contre la beauté froide de son partenaire.

Pourtant, leurs beautés à tout les deux éblouissaient chaque jeune fille qui mourrait d’envie de les approcher et de chaque jeune homme qui mourrait d’envie de leur ressembler.

Lors de chaque baiser, Walter et Ivan y mettait tellement de passion que l’on pourrait même se demander si leur romance ne dépassait pas le rôle mais le public ne se rendait compte de rien trop captivé par leurs prestations.

 

La pièce prit fin et la salle se vida petit à petit. Les deux hommes sortirent côté coulisses et se retrouvèrent dans la loge prévue pour les deux rôles principaux.

Le blond prit le brun par la taille et l’entraîna contre la porte. Le corps d’Ivan claqua et le blond prit ses lèvres avidement. Ses mains caressaient la taille de son amant et chaque effleurement de la part des doigts de l’anglais provoquait toute une avalanche de sensation chez le brun.

-Ne serai-ce point déconvenue de te demander d’arrêter ?

-Je sais que tu en veux plus et c’est bien pour cela que je continue

Sous les allures d’ange de Walter se cachait en vérité un homme plein de sensualité et de perversité.

Les caresses du blond reprirent de plus belle. Sa main gauche titillait les tétons du brun sous son costume tandis que sa main droite était posée sur sa nuque pour qu’il approfondisse le baiser en court. Le brun se décolla du mur et avança vers le divan, forçant son vis-à-vis à reculer. Il l’allongea sur le canapé pour se retrouver au dessus de lui, bien décider à prendre les devants.

 

En dehors de la pièce, les différents représentants de la presse anglaise courraient dans les dédales des coulisses du théâtre à la recherche des deux comédiens.

 

Nu l’un sur l’autre, les deux comédiens en question s’embrassaient sur le divan. Leurs érections mutuelles se frottaient alors que le brun faisait bouger son bassin pour que son amant soit excité au maximum.

 A cheval sur lui, il profitait de la vue de Walter se cambrant et gémissant sous les divines caresses qu’il lui prodiguait. Sans prévenir son doigt d’introduit dans le corps du blond qui hurla de plaisir, son deuxième doigt l’accompagna suivit de près par son troisième qu’il léchait sensuellement pour l’introduire encore plus facilement dans le corps de Walter.

 

Les journalistes, alertés par ce cri, se ruèrent dans tous les sens pour en trouver la source mais les murs tellement étroits et les couloirs aussi longs ne leur facilitaient pas vraiment la tache.

 

Estimant qu’il était assez préparé, Ivan prit ses jambes qu’il posa sur ses épaules et pénétra Walter d’un coup de rein énergique qui le fit frissonner et gémir de plaisir.

Les coups de reins du français s’accordaient parfaitement avec les râles de l’anglais.

-Continue Ivan hummmm… fais moi du bien aaaaaaaaaahhhh pl…us fort

Sa voix suppliante fit réagir Ivan qui entama des coups de reins de plus en plus fort.

L’ultime coup de rein et tout deux se libérèrent en un seul cri de plaisir.

 

La police nationale fut rameuté par la presse qui, soucieuse par ces cris étranges, ne cessait de se demandé ce qui se passait dans les pièces de ce théâtre.

Tout ce petit monde se rapprocha d’une porte en particulier où un rai de lumière passait sous la porte. Les policiers de placèrent devant et ouvrirent la porte eux-mêmes.

 

Les deux amants épuisés par leurs ébats étaient allongés, nus, sur le divan une simple couverture couvrant leurs deux corps entrelacés.

Tout d’un coup, la porte s’ouvrit pour laisser découvrir un troupeau de journalistes et de policiers les yeux grands ouverts par leur découverte.

Un des policiers, qui semblait être le chef, entra dans la pièce alors que les deux amants se rhabillaient effrayés comme jamais.

 

-Walter Walsingham et Ivan Du Croisset vous êtes en état d’arrestation pour atteinte à la pudeur et pour homosexualité. Vous serez pendus tout deux demain matin à l’aube.

 

Des larmes silencieuses coulaient sur le visage de l’ange blond alors que Ivan gardait la mâchoire serrée sa fierté d’homme oblige.

 

Le lendemain, toute la ville était rassemblée sur la grande place où une grande potence de bois était érigée. Les deux hommes, les joues creusées et les yeux cernés, s’approchèrent de la potence et prirent place dans les deux nœuds de corde prévus à cet effet.

Le commissaire énonça rapidement les causes de l’exécution pendant que le bourreau attendait patiemment, le levier en main,  son moment.

Les deux amants se prirent la main sachant le moment fatidique plus proche que jamais.

-Je t’aime Ivan

-Moi aussi je t’aime Walter

Deux murmures dans le silence du moment.

Le levier s’abaissa, le sol s’échappa sous leurs pieds et leurs cous piégés dans leur nœud.

Le manque d’oxygène se sentit venir très vite et les deux hommes suffoquaient devant une foule de milliers de gens.

Leur dernier souffle leur échappa et la mort les rattrapa. Leurs têtes tombèrent comme des poupées désarticulées alors que leurs mains se lâchèrent brusquement et retombèrent le long de leurs corps respectifs. Un peintre assit à l’arrière, derrière son chevalet immortalisait le moment son pinceau s’activant sur la feuille devant lui.

 

Londres, 2008

 

Une jeune fille  assise sur un banc d’un musée londonien observait une peinture depuis maintenant plus de deux heures.

Il la captivait et l’attristait en même temps.

La scène représentait une potence avec deux corps qui pendaient à leurs cordes devant des milliers de spectateurs.

Un employé de l’entretien s’approcha d’elle et lui offrit un verre d’eau  qu’elle prit en le remerciant.

-Tu aimes ce tableau ?

Elle hocha la tête.

-Tu sais qui est-ci qui est représenté ?

Cette fois, elle nia de la tête.

-Ce sont deux jeunes comédiens, pendus pour homosexualité.

Les larmes envahirent ses yeux et elle tomba à terre à genoux.

-Au moins même pour leur dernier souffle ils auront eu des milliers de spectateurs, comme une dernière pièce de théâtre.

L’employé partit après avoir prononcé ses mots laissant la jeune fille seul avec le tableau.

Elle se releva, s’approcha du tableau et regarda attentivement la date en bas de la peinture : « 17 janvier 1608 »

Elle regarda sa montre et vit afficher la même date à 400 ans près. Sa main effleura la coque de verre qui protégeait le tableau et murmura :

-Joyeux anniversaire

 

 

 

 

 

 

 Ce one shot m'est venu à l'esprit en cours pendant que la prof d'anglais nous montrait un extrait de Shakespeare in love   enfin jvais pas vous raconter ma vie lol...

Je sais pas trop ce qu'il vaut mais c'est pas grave

 

 

Par Mishu - Publié dans : One-shot
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