Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 21:30
Rhode: t'inquiètes pas, normalement on en saura un peu plus dans le chp 3...suspenssssse

Sakuko
: merci pour tes compliments et tout sinon j'irai lire tes fics avec plaisir quand elles commenceront.kiiisss


bonne lecture...



       

                                                       II

 

Le mois de mai est arrivé très vite, trop vite même. Bientôt nous serions le 12 et je ne savais toujours pas si j'étais prêt pour l'arrivée de ce bébé.Tenir un enfant dans mes bras en sachant qu'il n'était pas de moi, qu'il ne portait pas mon sang dans ses veines, que ses cellules n'étaient pas nées des miennes.Tout cela me bouleversait plus que je ne l'aurai voulu mais j'avais promi à Padmé un enfant et elle l'aurai quoi qu'il arrive.

D'ailleurs, nous nous étions déjà concertés sur les prénoms pour une fille elle proposait Eleonore et pour un garçon Kim. Je mentirais si je disais que j'aimais ces prénoms puisqu'ils étaient horribles mais je ne lui avais jamais dis. Pour mon impuissance ? Nous n'en avons jamais reparlé mais il semblerait que ça se soit arrangé même si quand nous faisons l'amour je sens que je ne suis pas à mon maximum, je ne laisse rien paraître.

-Luis arrêtes de rêvasser et prépares la bande son de "Eyes went red" TOUT DE SUITE !!!

Steve. Je n'étais pas d'humeur et pourtant il est obligé de venir me gueuler à l'oreille. La plupart du temps je me retenais vraiment de l'étriper. Je m'attelai à la tache et ne prononçai plus un mot jusqu'à la fin de la journée

Et Le jour arriva.On était le 12 mai aujourd'hui et je n'avais encore jamais vu Padmé dans un tel état de nerf. Elle était tellement surexcitée que je n'arrivais même plus à la suivre.

Ses mains tremblaient en permanence et dès qu'elle prenait une assiette ou un verre, il était rare qu'ils ne finissent pas par terre.

Le rendez-vous était fixé en fin d'après-midi à l'orphelinat "Fleur des champs". J'avais peur. Je savais bien que je ne devais pas mais l'appréhension me tenait et ne voulait plus me lâcher.

Le repas était prêt. Je m'assis à la grande table en en bois de la salle à manger et attendis l'arrivée du plat en tout bon mari qui se respecte.

Padmé posa la grande terrine en verre sur la table et s'assis en face de moi.

-J'ai peur Luis

Elle prit les couverts et commença à servir tout en parlant :

-Tu crois que nous serons choisis ? Si oui, l'enfant est-ce qu'il nous m'aimera ?Ca fais des mois que j'attends ce moment et maintenant je n'arrive même plus à y penser sans que mes mains ne tremblent.

En effet, lorsqu'elle prit mon assiette pour me servir ses mains tremblantes faisaient légèrement vaciller la fourchette et la cuillère qu'elle tenait.

-Ecoute ma chérie, même si nous ne sommes pas choisis nous continuerons à chercher car je sais que nous serons des parents formidables d'accord ?

Elle hocha la tête en signe de compréhension et attaqua sa viande en silence.

A ce moment-là, je sentis que toute ma peur d'envolait avec les mots qui franchirent mes lèvres. Je voulais devenir père et j'en serais un bon, un merveilleux.

Après le déjeuner, je décidai qu'un sieste me ferait le plus grand bien et je m'assoupis quelques heures sur le lit.

Dès que je me réveillai, je regardai l'heure sur le radio réveil et la peur revint eu galop quand je vis que nous devions partir dans l'instant si nous ne voulions pas arriver en retard au rendez-vous.

La voiture démarra et nous partîmes à l'orphelinat.

La grande bâtisse s'imposait parmi les petits pavillons qui l'entouraient. C'était sobre avec une petite touche d'industrielle.

La façade grise en béton était haute de six étages et large comme dix camions alignés. L'endroit était impressionnant mias aussi extrèmement triste.

Nous entrâmes dans l'orphelinat par la grande porte et je m'imobilisai pour inspecter l'entrée. Quand je le vis...

Il était là appuyé sur la rambarde de l'escalier et un frisson me parcourut lorsque mon regard croisa le sien. Ses yeux ambres me transperçaient, sa bouche charnue m'attirait et son visage angélique m'hypnotisait. Il devait dépasser les 1m80 mais son visage et sa carrure était toujours celle d'un adolescent qui n'avait toujours pas fini de grandir pourtant dans toute son allure on sentait une maturité d'adulte. Ses cheveux blonds soyeux et qui semblait si doux me faisait me sentir tout petit comparé à mes cheveux noirs pie sans aucune originalité.Combien de temps je restai encore à le regarder ? Aucune idée mais sa beauté androgyne ne cessait de m'étonner.

Une petite vieille qui portait fièrement son insigne de directrice sur sa veste nous fit entrer dans son bureau. L'entretien dura une trentaine de minutes où la vieille femme n'avait cessé de nous poser des questions divers sur notre vie de couple, nos vies professionnelles etc...Elle promit de nous rappeller au plus vite pour nous communiquer sa décision.

Lorsque nous retournâmes dans le hall, je cherchai du regard le jeune homme qui m'intriguait et je le trouvai cette fois assis sur une chaise avec à côté de lui un petit garçon nettement plus petit qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eaux.

 

 

 

Par Mishu - Publié dans : Whatever we want
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Commentaires

symptome n°2:mn mate eh oui comme un voyeurrr
commentaire n° :1 posté par : hysteriqueduyaoi le: 15/10/2008 à 12h41
Ils vont adopter la fratrie? ce serai meugnon mdr. Enfin, je suppose que les deux garçons sont frères si ils se ressemblent tant. Vive la suite! Bisous
commentaire n° :2 posté par : Rhode le: 14/03/2008 à 05h58
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