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Ce blog n'est plus d'actualité, si vous voulez suivre mes fics de nouveau c'est ici que ça se passe et nulle part ailleurs : mishu.canalblog.com

MERCI

Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 19:35

                                                   PROLOGUE

-Alors ?

-C’est négatif

-Je…Je…

Elle tomba dans mes bras et pleura sur mon épaule comme elle le faisait souvent depuis quelques temps déjà

-On ressaiera, ne t'inquiètes pas la rassurai-je

-CA FAIT 6 MOIS LUIS ET J’EN AI PLUS QUE MARRE D’ESSAYER !!

-Va t’allonger je pense que tu te sentiras mieux.

Elle partit dans la chambre à coucher et moi je me laissais lentement glisser le long de l’armoire pour m’étalait sur le sol. 6 mois. 6 longs mois que l’on essayait d’avoir un enfant et aucun résultat. Elle pleurait et moi je me sentais faible, comme incapable. Oui, c’était ça; incapable, incapable de nous assurer une succession. Voilà comment je le voyais, toute ma fierté d’homme tombait en ruine depuis notre premier essai infructueux et maintenant je n’essayais plus je la laissais faire en n’attendant plus vraiment de résultat au bout. On faisait l’amour pour concevoir et non plus pour notre propre plaisir et cela me dépassait au plus haut point.

Je pris mon courage à deux mains et sortit de la salle de bain pour retrouver mon épouse allongée sur le lit, la respiration lente et de longues coulées de larmes encore humides sur les joues. Je m’approchai de la fenêtre et appréciai les rares rayons du soleil couchant qui subsistaient encore.

Je fermai les rideaux et me coucha sur le lit au côté de la jeune femme avec qui je ne pourrais sûrement jamais partager le plaisir d’être père et de porter la chair de sa chair dans ses bras aimants. Une larme coula sur ma joue mais je la sécha du revers de la manche : je m’étais déjà assez ridiculisé comme ça.

Un rayon de soleil vitn titiller mes yeux, je luttai mais rien n'y fis j'ouvris dificilement les yeux et tâtai de la main le côté droit du lit mais je ne sentis rien sous mes doigts. Elle était peut-être partie parce que je ne pouvais pas procréer.Non,impossible elle m'aime trop pour ça. Je me redressai et sortit du lit.

-PADME, PADME, je ne cessai de l'appeler mais aucune réponse me parvenait.

Je courus jusqu'au salon pour l'apercevoir assise sur le canapé, ses écouteurs dans les oreilles à osciller la tête au rythme de la musique. Un soupir de soulagement m'échappa et je m'approchai doucement pour ne pas la brusquer.

-Chérie dis-je en retirant les écouteurs de ses oreilles

Elle sursauta et se retourna pour se retrouver nez à nez avec moi. Je posai la main sur sa joue et m'accoudai au dossier du canapé.

Cette nuit m'avait permi de réflechir et j'en étais venu à la conclusion que nous devions consulter un specialiste. Je lui fis part de mon idée, elle secoua la tête comme pour refuser mais un léger "oui" sortit de sa bouche et je compris que je devais m'occuper de prendre rendez-vous.

J'appelai sur le champ et la secretaire du Dr. Figgs me trouva un rendez-vous la semaine d'après à 13h, j'acceptai, raccrochait puis enlaçai ma femme qui avait déjà les larmes aux yeux.

Une semaine plus tard, ma femme et moi nous dirigions vers le grand bâtiment de la clinique municipale. Le médecin nous accepta immédiatement et je sentai déjà mes mains devenirent moites.

Quoi qu'il arrive je ne faillirai pas à ma tache. J'aiderai Padmé et je l'aimerai même s'il s'avère qu'il nous est impossible d'avoir un enfant.

Je serrai la main du docteur et nous nous assîmes lui derrière et nous devant le bureau.

-Eh bien j'ai reçu et analysé les échatillons que vous aviez fait il y a quelques jours et je...

Oui, nous avions fait une prise de sang dans la semaine avant le rendez-vous.

-Allez droit au but docteur s'il vous plaît

Sa voix était suppliante et étranglée par des sanglots qu'elle retenait et cela me brisa le coeur. Je passai ma main dans son dos pour la rassurer et invita d'un geste de la tête ,le Dr. Figgs, à poursuivre.

-Eh bien il se trouve que...en fait en analysant vos sangs j'ai pu detecter une anomalie dans celui de madame et je puis assurer que...

Ne pouvait-il pas nous l'annoncer de but en blanc. Non, il fallais qu'il parle parle et reparle. Je deteste les médecins.

-Eh bien madame je suis dans le regret de vous dire que vous êtes stérile.

Ah bah au moins ce n'est pas moi l'incapable. Ma virilité remonte en flèche. Oh mon dieu, je n'aurais jamais d'enfant et tous ce à quoi je pense c'est à ma virilité. Pathétique. Padmé, elle, avait déjà versé le double de son poids en larmes et je la pris dans mes bras ne sachant quoi faire d'autre pour la consoler.Nous devions partir et au plus vite.

-Ecoutez je vous appelerez pour avoir plus d'informations sur l'adoption etc.. Merci au revoir.

Je ne lui serrai pas la main cette fois et partis le plus vite possible en tenant celle de Padmé fort, trop fort peut-être mais nous avions tout deux besoin d'amour et de soutien. Surtout elle.

J'entrai dans la voiture elle entra, je mis le contact et je consuisis jusqu'à la maison.

Quand on entra dans notre maison, Padmé courut dans la chambre et je la suivis en marchant. Elle se coucha sur le lit et je la bordai comme une enfant qui venait de se faire gronder.

-Luis...qu'est-ce...qu..e..on...va.faire ?

Qu'est-ce qu'on allait faire ? Eh bien c'était simple, nous allions adopter.

-On adoptera


Laissez vos impressions 
 

PS: merci Elle Sid de m'avoir signalé la petite erreur de prénom (mea culpa) c'est corrigé. Pour info c'est parce que au début je voulais l'appeler Fanny la fille enfin...

Par Mishu - Publié dans : Whatever we want
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Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 00:38
  Petit one-shot pour patienter avant la prochaine mise à jour, c'est mon 1er lemon alors un peu d'indulgence merci.


                                                               

                                                               SI BIEN…

 

-Non…ne me touches pas…NON…j’ai dis non.

Il se débattait, ce jeune homme aux cheveux roux. Lui, l’amant, n’avait su attendre et avait voulu le prendre immédiatement mais le jeune homme n’était pas prêt.

-Mais tu m’aimes non ? Il lui prit les mains et les posa sur le mur où le jeune homme était adossé.

-Oui je t’aime mais ne me touche pas je ne suis pas prêt…pas maintenant.

L’amant collait son bassin sur celui de son vis-à-vis, il le mouvait en cadence sans cacher l’énorme proéminence que laissait apercevoir son jean moulant.

-Tu verras ça passera tout seul.

Il ouvrit le pantalon du jeunot, fit tomber son boxer, laissa sa main s’aventurer sur son entrejambe  et la caressa lentement. De longs gémissements sortaient de la bouche du jeune homme et l’amant ne semblait pas vouloir s’arrêter là. Il lâcha le sexe peu avant la jouissance, se prépara à introduire le sien dans l’antre de l’adolescent mais celui-ci le stoppa et le poussa.

-Non…non je ne veux pas, ne m’oblige pas à faire ça…je ne peux pas.

Des sanglots entrecoupaient sa voix mais l’amant ne s’en préoccupait pas seul son plaisir comptait et si ce rouquin l’aimait il allait devoir le supporter. Seulement ce soir-là, un élan de gentillesse le prit à la gorge et il s’obligea à le préparer pour qu’au moins il ne souffre pas trop. L’amant souleva les pans du tee-shirt du plus jeune et le lui retira pour laisser voir son torse musclé et imberbe. Il le lécha, le mordilla, le croqua jusqu’à ce que chaque parcelle de son abdomen soit imprégnée de son odeur et la marque de ses dents visible en profondeur.

Il ne voulait pas lui faire du mal juste prendre du plaisir. Après tout il avait joué avec lui pendant 2 mois et l’avait laissé l’aimer, il fallait bien une compensation.

Les mains de l’amant se baladaient sur tout le corps du plus jeune, venait titiller ses tétons, lui caressait le nombril. De nouvelles expériences, voilà ce qu’allait lui rapporter le rouquin qui lui continuait à hurler, pleurer et gémir sans attendre vraiment de réponses.

Le plus vieux l’embrassa de ses lèvres douces et sucrées que le rouquin avait adorées eu premier contact. Il s’en souvenait encore, c’était il y a deux mois à peu près et il était tombé amoureux de son côté mystérieux et de ses cheveux bruns qui lui tombaient sur le visage. Voilà où tout cela finissait, dans une rue sombre, violé par l’homme idéal. Quelle bêtise. Ce soir-là il pleurait son cœur détruit, hurlait sa peine et gémissait son plaisir. Quelle contradiction : prendre du plaisir alors qu’il se faisait violer. Décidemment jamais il n’arriverait à comprendre sa façon de penser.

L’amant s’agenouilla, l’ado paniqua : qu’allait-il faire qu’il n’avait pas encore fait ? Lorsqu’il lécha son membre, le jeune eut la réponse à sa question. L’amant suça le gland, lécha le sexe sur toute sa longueur et finalement le prit en bouche sous les râles puissants du dominé.

Après de long va et viens incessants, l’adolescent jouit dans la bouche de l’adulte. Celui-ci se releva et l’embrassa pour lui faire partager le fruit du plaisir que le jeune recracha aussitôt.

N’en pouvant plus, le plus vieux introduisit un doigt dans le corps du jeune qui cria de douleur puis ,une fois celui-ci habitué, un deuxième puis un troisième. Ses trois doigts de déplaçaient dans l’anus du rouquin à une vitesse folle, lui souffrait énormément mais ne criait plus. De toute façon c’était inutile.

Le violeur enleva ses doigts, positionna son sexe à l’entrée et le rentra d’un coup. Une longue plainte s’échappa des lèvres du jeune qui ne pouvait retenir sa douleur.

-Tu aimes ça… tu aimes ça hein DIS MOI QUE TU AIMES CA !!!!

-J’aime…oui…j’…aime

Pendant de longues minutes, le violeur fit des va et viens dans le corps de l’autre. Il sortait, re-rentrait, re-sortait etc.…

 Puis ils jouirent tous deux l’un par terre et l’autre entre les cuisses du jeune.

Ils tombèrent sur le sol, extenués, le rouquin pleurait alors que le violeur souriait. Quelle merde ! Il lui en a fait voir de toutes les couleurs ce con lui avait violé son intimité, lui avait prit son innocence en même temps que sa virginité. C’est sa fierté en moins que le jeune homme se lève retenu au poignet par son violeur.

-Ca t’a plu hein ?

-NON

-Mais si, dis moi que tu m’aimes

-JAMAIS VA TE FAIRE FOUTRE GROS CON

Le violeur se leva à son tour et prit le cou de l’adolescent

-Dis moi que tu m’aimes

-Je…t’…ai…me

Il lâcha légèrement la prise

-Dis moi  que tu es bien avec moi

-Je…su..is….SI..bi..en…avec…toi

Le violeur lâcha complètement sa prise et le jeune partit en courant pour rentrer chez lui.

L’adulte était content, le sourire aux lèvres il sifflotait dans les rues, heureux de sa petite besogne.

 

 

 Au passage bonne vacances à ceux qui sont déjà en vacance 
Bisoux

Par Mishu - Publié dans : One-shot
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 15:34
Désolé franchement de ne pas avoir donné de nouvelles pendant la semaine bref je suis bien rentrée mais ce chapitre-là j'ai eu vraiment du mal à le chier (excuser l'expression pourtan très approprier) j'espère que cette fic avancera comme l'autre parce que là ça commence mal ^^ .
Bref j'vais essayer de faire plus de chap mais j'vous promet rien ce qui est sûr c'est que j'vais mettre les chapitres 3 et 4 de WWW avant de continuer "Famille en crise" sauf si l'inspi vient entre temps.
Enfin apprécier bien ce chap pourri comme tout (lol) ...


                                                              I

 

Trois mois. Trois mois depuis lesquels Padmé et moi nous nous démenions pour adopter un enfant. Chaque papier et formulaire à remplir était une épreuve pour elle, sa stérilité l'affectait beaucoup et je l'aidais de mon mieux pour qu'elle ne s'apitoie pas sur son sort.Nous avions rencontrer toutes les personnes du Planning Familial susceptibles de nous aider et ce matin-là, comme une bénédiction, la réponse est tombée.

-Allo

Padmé avait décroché le téléphone aux alentours de midi.

-Oh mon dieu !!!

J'ai accouru vers elle lorsqu'elle a crié et des larmes coulaient sur ses joues. La tension montait et je n'était même pas sûr de vouloir savoir ce qui se disait au téléphone. Une dizaine de minutes plus tard, Padmé raccrochait.

Elle m'avait annoncé,les larmes aux yeux, qu'un orphelinat d'une ville voisine avait vu notre fiche et avait accepté que l'on adopte un des enfant de son établissement. Après ça le trou noir.

Je me reveillai dans notre chambre; ma femme à mon chevet, un papier dans la main qu'elle me tendit dès que j'ouvris les yeux.

  Mr et Mme Guria,

J'ai reçu votre fiche pour votre demande d'adoption et je dois dire que votre profil de couple m'a beaucoup plu.Je souhaiterais vous rencontrer le 12 mai prochain si l'adoption vous tente toujours. L'adresse de l'établissement où je suis la directrice est inscrite sur une carte ci-jointe. 
Je vous prie d'agréer à mes plus sincères salutations,
 Mme Jones.

En effet une carte tomba sur mes genoux et je vis dessus une adresse.

Le 12 mai, dans un mois jour pour jour. Nous serons prêts, j'en suis sûr. Ce soir-là, ma femme et moi nous fîmes l'amour avec toute la passion qu'il se doit.

Le lendemain, je partis au studio d'enregistrement et laissai ma femme à la maison. Car oui, je suis compositeur seulement depuis les dernieres mois je ne m'occupais plus vraiment de mon boulot et retourner travailler me fera sûrement le plus grand bien.

J'arrivai au studio et ouvrit la porte. Je vis directement mon manager et ma meilleure amie qui se trouvait être aussi ma collaboratrice.

-Coucou toi, bienvenue de nouveau parmi nous

-Euh oué salut, je souriai gêné malgré tout, désolé de ne pas avoir pu...

-Chuuut on est au courant c'est bon, me coupa ma collaboratrice, Célia.

-On se met au travail

Notre manager, Steve, était un bourreau de travail mais Célia et moi nous l'adorions.

Bref, tout au long de la journée je bossai sur plusieurs chansons et quand 22h sonna je rentrai tranquillement à la maison.

Je trouvai ma jeune épouse affalée sur le canapé profondément endormie, la portai jusqu'au lit pour la laisser se reposer.

Je me couchai à mon tour après m'être deshabillé et regardai le ciel étoilé par la fenêtre de la chambre.

J'avais tellement hâte d'avoir cet enfant que j'avais oublié qu'il fallait passer un entretien. Quel idiot. Comment cela allait-il se passer ? Ferais-je un bon père ? Jamais je n'avais autant cogiter de cette façon.

Je sentis Padmé s'agiter sous les draps.Encore un cauchemard. Elle en faisait souvent ces temps-ci, sûrement doit-elle appréhender la venue de l'enfant.

Je me levai, le sommeil ne venait pas et rien ne servait de rester dans le lit à penser à des choses qui pourraient me faire douter.

Je m'assis devant la télé pour regarder les divers programmes plus ou moins biens qui y passaient puis finalement je m'assoupis sur le canapé sans prendre le temps d'éteindre la télévision.

Le lendemain, je fus reveillé par des lèvres humides sur ma joue, j'ouvris doucement les yeux et le soleil me brula la rétine.

Je posai immédiatement les paumes de mes mains sur mes paupières et me redressai dur le canapé avec un horrible mal de dos qui me tirallait à chaque mouvement trop brusque. Changer de canapé : voilà ce qu'il restait à faire.

On prit le petit déjeuner ensemble sans échanger un seul mot. Une athmosphère pesante s'était installée et nous étions chacun de notre côté la tête penchée sur l'assiette.Pourquoi un tel silence ? Je n'en avais aucune idée seulement j'avais une idée pour le briser sans vraiment le faire.Je me levai en faisant légèrement frotter la chaise sur le parquet, me dirigeai à pas de loup vers ma femme qui semblait de plus en plus perplexe au fur et à mesure que j'avançais.

Lorsque j'arrivai devant elle, je me baissai pour être à sa hauteur, posai ma main sur sa joue et prit ses lèvres dans un baiser doux et affectueux. Sa main se baladait sous mon tee-shirt et caressai mon torse en forçant sur mes tétons. La mienne se perdait sous sa nuisette, malaxait son sein.

Soudain,Padmé se mit à genoux elle m'allongea sous elle tout en retirant mon tee-shirt. Sa tête glissa tout le long de mon thorax en y laissant de petits baisers. Ses cheveux me chatouillait et sa main caressai mes fesses seulement l'exciation ne venait pas. Bien sûr je gémissai un peu mais je ne bandai toujours pas. Je ne m'inquiétais pas ça aller venir, j'avais toujours pu lui faire l'amour pourquoi cela allait-il changer ?

Padmé continuait son trajet et elle arriva au point sensible : mon sexe toujours pas au garde à vous recevait de légers coups de langues sur le gland. De petits gémissements m'échappaient mais aucun progrès vers le bas. Ma femme commençait déjà à le prendre sur sa longueur mais s'étonnait de son état. Elle me regarda et dans ses yeux je pouvais voir une pointe de décéption mais elle continuait.

Pourquoi je ne bandais pas ??!! Qu'est-ce qui n'allait pas chez moi ? Une femme magnifique me faisait une pipe et je n'étais même pas capable de bander !!! Quel con.

Je me décidai finalement à relever sa tête et je vis des larmes perler le long de ses joues.

-Ne t'inquiètes je suis juste un peu fatigué à cause des procédures et tout.

Je n'étais pas du tout fatigué. Je savais aussi qu'elle n'allait pas me croire mais tant pis même moi je n'expliquais pas cette soudaine impuissance.

J'allai dans la chambre et m'alongeai sur le lit en prenant mon téléphone portable sur la table de nuit. Je composai le numéro et mon interlocuteur répondit immédiatement.

-Allo

-Célia, c'est moi Luis

Il fallait absolument qu'elle m'aide.J'espèrais vraiment qu'elle pourrais trouver une solution à mon problème.

-Ah salut ça va ?

-Pas vraiment

-Qu'est-ce qui se passe ???!!!

Je sentais à sa voix qu'elle commençait à paniquer.Je m'empressais de la rassurer et lui expliquai dans les moindre détails l'épisode d'il y a quelques minutes.

-Mon chou faut pas te mettre dans ces états-là, c'est juste de la fatigue même si tu ne la ressens pas et puis si ce n'est pas ça c'est forcément quelque chose de moins grave qui si tu ne désirais plus Padmé.

Oui, je lui avais parlé de la possibilité que je ne puisse plus désirer ma femme.

-D'accord, si tu le dis.Merci en tout cas

-De rien c'est normal après tout, je te fais de gros bisous. Ciao.

Sans même avoir au le temps de répliquer, j'entendis une série de bip à l'autre bout du combiné : signe qu'elle avait raccroché. Je n'y voyais pas vraiment plus clair mais je savais que ce n'étais en aucun cas un manque de désir envers ma femme.

Je pensai que cela faisait quelques heures déjà que j'avais quitter le salon et Padmé ne m'avait pas encore rejoint. J'allai verifier et la trouvai allonger sur le canapé en plein sommeil. Qu'est-ce qu'on avait tous les deux à vouloir dormir sur ce canapé ???!!!

Je la soulevai et la ramenai dans la chambre pour ne pas qu'elle souffre du même mal de dos que moi. Après m'être deshabillé et allongé à ses côtés je m'endormit sous la lumière du clair de lune qui filtrait à travers les volets.


 
Par Mishu - Publié dans : Whatever we want
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Jeudi 13 mars 4 13 /03 /Mars 21:30
Rhode: t'inquiètes pas, normalement on en saura un peu plus dans le chp 3...suspenssssse

Sakuko
: merci pour tes compliments et tout sinon j'irai lire tes fics avec plaisir quand elles commenceront.kiiisss


bonne lecture...



       

                                                       II

 

Le mois de mai est arrivé très vite, trop vite même. Bientôt nous serions le 12 et je ne savais toujours pas si j'étais prêt pour l'arrivée de ce bébé.Tenir un enfant dans mes bras en sachant qu'il n'était pas de moi, qu'il ne portait pas mon sang dans ses veines, que ses cellules n'étaient pas nées des miennes.Tout cela me bouleversait plus que je ne l'aurai voulu mais j'avais promi à Padmé un enfant et elle l'aurai quoi qu'il arrive.

D'ailleurs, nous nous étions déjà concertés sur les prénoms pour une fille elle proposait Eleonore et pour un garçon Kim. Je mentirais si je disais que j'aimais ces prénoms puisqu'ils étaient horribles mais je ne lui avais jamais dis. Pour mon impuissance ? Nous n'en avons jamais reparlé mais il semblerait que ça se soit arrangé même si quand nous faisons l'amour je sens que je ne suis pas à mon maximum, je ne laisse rien paraître.

-Luis arrêtes de rêvasser et prépares la bande son de "Eyes went red" TOUT DE SUITE !!!

Steve. Je n'étais pas d'humeur et pourtant il est obligé de venir me gueuler à l'oreille. La plupart du temps je me retenais vraiment de l'étriper. Je m'attelai à la tache et ne prononçai plus un mot jusqu'à la fin de la journée

Et Le jour arriva.On était le 12 mai aujourd'hui et je n'avais encore jamais vu Padmé dans un tel état de nerf. Elle était tellement surexcitée que je n'arrivais même plus à la suivre.

Ses mains tremblaient en permanence et dès qu'elle prenait une assiette ou un verre, il était rare qu'ils ne finissent pas par terre.

Le rendez-vous était fixé en fin d'après-midi à l'orphelinat "Fleur des champs". J'avais peur. Je savais bien que je ne devais pas mais l'appréhension me tenait et ne voulait plus me lâcher.

Le repas était prêt. Je m'assis à la grande table en en bois de la salle à manger et attendis l'arrivée du plat en tout bon mari qui se respecte.

Padmé posa la grande terrine en verre sur la table et s'assis en face de moi.

-J'ai peur Luis

Elle prit les couverts et commença à servir tout en parlant :

-Tu crois que nous serons choisis ? Si oui, l'enfant est-ce qu'il nous m'aimera ?Ca fais des mois que j'attends ce moment et maintenant je n'arrive même plus à y penser sans que mes mains ne tremblent.

En effet, lorsqu'elle prit mon assiette pour me servir ses mains tremblantes faisaient légèrement vaciller la fourchette et la cuillère qu'elle tenait.

-Ecoute ma chérie, même si nous ne sommes pas choisis nous continuerons à chercher car je sais que nous serons des parents formidables d'accord ?

Elle hocha la tête en signe de compréhension et attaqua sa viande en silence.

A ce moment-là, je sentis que toute ma peur d'envolait avec les mots qui franchirent mes lèvres. Je voulais devenir père et j'en serais un bon, un merveilleux.

Après le déjeuner, je décidai qu'un sieste me ferait le plus grand bien et je m'assoupis quelques heures sur le lit.

Dès que je me réveillai, je regardai l'heure sur le radio réveil et la peur revint eu galop quand je vis que nous devions partir dans l'instant si nous ne voulions pas arriver en retard au rendez-vous.

La voiture démarra et nous partîmes à l'orphelinat.

La grande bâtisse s'imposait parmi les petits pavillons qui l'entouraient. C'était sobre avec une petite touche d'industrielle.

La façade grise en béton était haute de six étages et large comme dix camions alignés. L'endroit était impressionnant mias aussi extrèmement triste.

Nous entrâmes dans l'orphelinat par la grande porte et je m'imobilisai pour inspecter l'entrée. Quand je le vis...

Il était là appuyé sur la rambarde de l'escalier et un frisson me parcourut lorsque mon regard croisa le sien. Ses yeux ambres me transperçaient, sa bouche charnue m'attirait et son visage angélique m'hypnotisait. Il devait dépasser les 1m80 mais son visage et sa carrure était toujours celle d'un adolescent qui n'avait toujours pas fini de grandir pourtant dans toute son allure on sentait une maturité d'adulte. Ses cheveux blonds soyeux et qui semblait si doux me faisait me sentir tout petit comparé à mes cheveux noirs pie sans aucune originalité.Combien de temps je restai encore à le regarder ? Aucune idée mais sa beauté androgyne ne cessait de m'étonner.

Une petite vieille qui portait fièrement son insigne de directrice sur sa veste nous fit entrer dans son bureau. L'entretien dura une trentaine de minutes où la vieille femme n'avait cessé de nous poser des questions divers sur notre vie de couple, nos vies professionnelles etc...Elle promit de nous rappeller au plus vite pour nous communiquer sa décision.

Lorsque nous retournâmes dans le hall, je cherchai du regard le jeune homme qui m'intriguait et je le trouvai cette fois assis sur une chaise avec à côté de lui un petit garçon nettement plus petit qui lui ressemblait comme deux gouttes d'eaux.

 

 

 

Par Mishu - Publié dans : Whatever we want
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Samedi 15 mars 6 15 /03 /Mars 17:04
Voili voilou le chap 3. Jdois dire que jme suis éclatée à le faire...Qoiqu'il est un peu plus court que d'habitude mais bon pas grave c'est quand même un grand pas en avant qu'il fait notre Luis

bonne lecture.





                                                                    III




Son visage me hanta jusqu'au soir, dans mon lit où je rêvais de lui. Nous étions enlacés dans l'herbe humidifiée par la rosée; il m'embrassait, me caressait et...

Je me réveillai, le corps transpirant et tout en ébulition.Je sentis mon bas de pyjama bizarrement mouillé. Je me levai du lit et découvris avec horreur q'un "simple" rêve avec ce bel inconnu m'avait suffi à éjaculer.Heureusement Padmé dormait toujours à point fermé à mes côtés et aucune trace de l'accident n'était visible dur le drap.

Comment étais-ce possible ? Non, je n'étais pas homosexuel, j'aimais ma femme mais pourtant dès que son visage me venait à l'esprit des frissons me parcouraient et un sourire béat étirait mes les lèvres.

Depuis quand n'avais-je pas ressenti ça ? Il semblait que ma passion avec Padmé s'éteinte au fur et à mesure de notre relation. Le feu ardent de notre amour s'amenuisait au fil du temps et je ne le réalisai que maintenant.

Je me rendis dans la salle de bain pour profiter pleinement de la douche. L'eau tiède coulait le long de mes épaules, mon torse, mes jambes et parfois j'imaginais les mains baladeuses du jeune homme remplaçant les gouttes d'eau.

Mon corps réagit brusquement et je dû me résoudre à sortir de la douche après m'être passer de l'eau glacée sur mon membre dressé.

Calmé, je sortis de la salle de bain, non pas pour me recoucher mais je pris mon ordinateur portable et allai au salon.

Je branchai l'ordinateur et m'assis sur le canapé devant la table basse. L'objet s'alluma et je surfai sur différents sites pour finalement trouver ce que j'étais venu chercher. La fenêtre s'ouvrit et l'accueil du site internet montrait multiples hommes qui se touchaient entre eux : un avant-goût de ce qui allait arriver après.

Oui, j'allai découvrir si j'étais vraiment gay ou pas même peut-être bi je ne sais pas.

Je trouvai une vidéo prise au hasard et la mise en route.

Deux hommes se chevauchaient comme des bêtes en chaleur.Non. Il me fallait quelquechose de plus romantique,de plus doux.

Je visionna une deuxième vidéo à nouveau choisie au hasard.

Deux hommes s'embrassaient passionnement sur une...machine à laver en marche. Etrange. Un des deux hommes descendit de la machine en laissant l'autre assis dessus les jambes écartés.L'homme debout posa ses lèvres sur le sexe de son partenaire puis le pris en bouche.

Je bandai déjà.

L'homme assis sur la machine gémissait, hurlait de plaisir alors que l'autre avait abandonné son sexe pour lui soulever la jambe et introduire sa langue dans la cavité offerte.

Mes mains se baladaient sur tous mon corps.

Après la langue, les doigts humidfiés prirent le relais et faisait de longs vains et viens dans le corps du soumis tandis qu'il embrassait son dominant à pleine bouche.

Je descendis mon pantalon et mon boxer. Mon cerveau ne controlait plus mes actions seuls la vidéo le faisait.

L'homme à terre remonta sur la machine à laver après avoir retirer ses doigts. Il se mit à genoux alors que l'autre allongeait le haut de son corps sur ce qu'il restait de place. La cavité et les deux sexes étaient bien visibles.

Je fis de long va et viens énergiques sur mon sexe tendu.

Le dominant prit les jambes de son partenaire et les plaça sur ses épaules. Il le pénétra d'un coup dans une douceur mélée à de la sauvagerie. Les remous de la machine à laver faisait buter son sexe contre les fesse de l'autre homme qui, lui, s'égosillait en divers râles et gémissements. Il ne s'embrassaient que rarement mais lorsqu'ils le faisaient, la température montait d'une vingtaine de degrés.

Je me libérai dans ma main en un cri étouffé de plaisir.

Ils éjaculèrent ensemble en hurlant avec érotisme.

J'essuyai ma main souillé avec un mouchoir, quitta le site puis éteignit l'ordinateur.

Trop troublé pour faire de constatations, je retournai me coucher en gardant en mémoire la vidéo.

 

Pour une famille en crise, le chp 7 est en cours d'écriture il sera sûrement mis en ligne demain ou après-demain...

kiss
Par Mishu - Publié dans : Whatever we want
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