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MERCI

Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 20:30

                                                   Le tableau

 

Londres, 1608

 

Le public acclama les deux jeunes garçons entrés sur scène. L’un vêtu en homme et l’autre en femme. Tout deux jouait respectivement les rôles de Roméo et Juliette.

Une foule de paysans et nobles s’agglutinait devant la scène et ne cessait de hurler le nom des deux protagonistes. Des « Walter » et des « Ivan » fusaient dans toute la salle.

Bien connu dans le monde théâtral, les deux jeunes hommes s’étaient faits un nom parmi les comédiens anglais du XVIIe siècle.

Walter, le travesti, avait été choisi pour le rôle de Juliette grâce à son allure androgyne à souhait. Des hanches et une taille fine, une carrure presque féminine. Ses cheveux blonds naturels étaient tellement longs que la perruque n’était même pas nécessaire. Des yeux bleus en amandes et des traits fins dessinaient son visage. Une touche de maquillage avait suffi et l’illusion était parfaite.

Ivan, lui, était un jeune français expatrié depuis maintenant six ans. Bruns aux yeux noisette il était l’opposé de Walter sous tous les plans. Son caractère brut contre la douceur de Walter et son physique assez basique ne faisait pas le poids contre la beauté froide de son partenaire.

Pourtant, leurs beautés à tout les deux éblouissaient chaque jeune fille qui mourrait d’envie de les approcher et de chaque jeune homme qui mourrait d’envie de leur ressembler.

Lors de chaque baiser, Walter et Ivan y mettait tellement de passion que l’on pourrait même se demander si leur romance ne dépassait pas le rôle mais le public ne se rendait compte de rien trop captivé par leurs prestations.

 

La pièce prit fin et la salle se vida petit à petit. Les deux hommes sortirent côté coulisses et se retrouvèrent dans la loge prévue pour les deux rôles principaux.

Le blond prit le brun par la taille et l’entraîna contre la porte. Le corps d’Ivan claqua et le blond prit ses lèvres avidement. Ses mains caressaient la taille de son amant et chaque effleurement de la part des doigts de l’anglais provoquait toute une avalanche de sensation chez le brun.

-Ne serai-ce point déconvenue de te demander d’arrêter ?

-Je sais que tu en veux plus et c’est bien pour cela que je continue

Sous les allures d’ange de Walter se cachait en vérité un homme plein de sensualité et de perversité.

Les caresses du blond reprirent de plus belle. Sa main gauche titillait les tétons du brun sous son costume tandis que sa main droite était posée sur sa nuque pour qu’il approfondisse le baiser en court. Le brun se décolla du mur et avança vers le divan, forçant son vis-à-vis à reculer. Il l’allongea sur le canapé pour se retrouver au dessus de lui, bien décider à prendre les devants.

 

En dehors de la pièce, les différents représentants de la presse anglaise courraient dans les dédales des coulisses du théâtre à la recherche des deux comédiens.

 

Nu l’un sur l’autre, les deux comédiens en question s’embrassaient sur le divan. Leurs érections mutuelles se frottaient alors que le brun faisait bouger son bassin pour que son amant soit excité au maximum.

 A cheval sur lui, il profitait de la vue de Walter se cambrant et gémissant sous les divines caresses qu’il lui prodiguait. Sans prévenir son doigt d’introduit dans le corps du blond qui hurla de plaisir, son deuxième doigt l’accompagna suivit de près par son troisième qu’il léchait sensuellement pour l’introduire encore plus facilement dans le corps de Walter.

 

Les journalistes, alertés par ce cri, se ruèrent dans tous les sens pour en trouver la source mais les murs tellement étroits et les couloirs aussi longs ne leur facilitaient pas vraiment la tache.

 

Estimant qu’il était assez préparé, Ivan prit ses jambes qu’il posa sur ses épaules et pénétra Walter d’un coup de rein énergique qui le fit frissonner et gémir de plaisir.

Les coups de reins du français s’accordaient parfaitement avec les râles de l’anglais.

-Continue Ivan hummmm… fais moi du bien aaaaaaaaaahhhh pl…us fort

Sa voix suppliante fit réagir Ivan qui entama des coups de reins de plus en plus fort.

L’ultime coup de rein et tout deux se libérèrent en un seul cri de plaisir.

 

La police nationale fut rameuté par la presse qui, soucieuse par ces cris étranges, ne cessait de se demandé ce qui se passait dans les pièces de ce théâtre.

Tout ce petit monde se rapprocha d’une porte en particulier où un rai de lumière passait sous la porte. Les policiers de placèrent devant et ouvrirent la porte eux-mêmes.

 

Les deux amants épuisés par leurs ébats étaient allongés, nus, sur le divan une simple couverture couvrant leurs deux corps entrelacés.

Tout d’un coup, la porte s’ouvrit pour laisser découvrir un troupeau de journalistes et de policiers les yeux grands ouverts par leur découverte.

Un des policiers, qui semblait être le chef, entra dans la pièce alors que les deux amants se rhabillaient effrayés comme jamais.

 

-Walter Walsingham et Ivan Du Croisset vous êtes en état d’arrestation pour atteinte à la pudeur et pour homosexualité. Vous serez pendus tout deux demain matin à l’aube.

 

Des larmes silencieuses coulaient sur le visage de l’ange blond alors que Ivan gardait la mâchoire serrée sa fierté d’homme oblige.

 

Le lendemain, toute la ville était rassemblée sur la grande place où une grande potence de bois était érigée. Les deux hommes, les joues creusées et les yeux cernés, s’approchèrent de la potence et prirent place dans les deux nœuds de corde prévus à cet effet.

Le commissaire énonça rapidement les causes de l’exécution pendant que le bourreau attendait patiemment, le levier en main,  son moment.

Les deux amants se prirent la main sachant le moment fatidique plus proche que jamais.

-Je t’aime Ivan

-Moi aussi je t’aime Walter

Deux murmures dans le silence du moment.

Le levier s’abaissa, le sol s’échappa sous leurs pieds et leurs cous piégés dans leur nœud.

Le manque d’oxygène se sentit venir très vite et les deux hommes suffoquaient devant une foule de milliers de gens.

Leur dernier souffle leur échappa et la mort les rattrapa. Leurs têtes tombèrent comme des poupées désarticulées alors que leurs mains se lâchèrent brusquement et retombèrent le long de leurs corps respectifs. Un peintre assit à l’arrière, derrière son chevalet immortalisait le moment son pinceau s’activant sur la feuille devant lui.

 

Londres, 2008

 

Une jeune fille  assise sur un banc d’un musée londonien observait une peinture depuis maintenant plus de deux heures.

Il la captivait et l’attristait en même temps.

La scène représentait une potence avec deux corps qui pendaient à leurs cordes devant des milliers de spectateurs.

Un employé de l’entretien s’approcha d’elle et lui offrit un verre d’eau  qu’elle prit en le remerciant.

-Tu aimes ce tableau ?

Elle hocha la tête.

-Tu sais qui est-ci qui est représenté ?

Cette fois, elle nia de la tête.

-Ce sont deux jeunes comédiens, pendus pour homosexualité.

Les larmes envahirent ses yeux et elle tomba à terre à genoux.

-Au moins même pour leur dernier souffle ils auront eu des milliers de spectateurs, comme une dernière pièce de théâtre.

L’employé partit après avoir prononcé ses mots laissant la jeune fille seul avec le tableau.

Elle se releva, s’approcha du tableau et regarda attentivement la date en bas de la peinture : « 17 janvier 1608 »

Elle regarda sa montre et vit afficher la même date à 400 ans près. Sa main effleura la coque de verre qui protégeait le tableau et murmura :

-Joyeux anniversaire

 

 

 

 

 

 

 Ce one shot m'est venu à l'esprit en cours pendant que la prof d'anglais nous montrait un extrait de Shakespeare in love   enfin jvais pas vous raconter ma vie lol...

Je sais pas trop ce qu'il vaut mais c'est pas grave

 

 

Par Mishu - Publié dans : One-shot
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Samedi 12 avril 6 12 /04 /Avr 12:31

Oh lalalalalala, je suis inexcusable j'avais dit vendredi dernier et pourtant il n'y a rien eu...
Tapez-moi je sais que je le mérite et en plus après le chapitre riquiqui qui suit je pense que vous aurez plus envie de me tuer mais bon je prend le risque et cours reserver ma pierre tombale XD




                                                                                 I

Mars 1942

 La grosse porte en bois bougea et claqua sur ses gonds. Je l’ouvris et un corps me tomba dans les bras. Ses cheveux noirs sales et en bataille m’arrivaient dans le nez, ils sentaient l’urine.

Je reculai sa tête, pris ses jambes, l’allongeai dans mes bras et le portai jusqu’à mon lit.

Pendant qu’il dormait je pris le temps de détailler son visage.

En dessous des cheveux noirs, ses paupières fermées laissaient glisser des de petites gouttes le long de ses joues. Sa bouche légèrement entrouverte, son nez en trompette bougeant légèrement au rythme de sa respiration : il semblait si serein dans son monde.

Les fines parcelles de peau qui couvraient ses yeux se relevèrent et son regard vitreux se planta dans le mien. Je ne puis que me demander ce qui avait terni ses anciens yeux bleus.

Il bougea sur le lit et un pant de sa veste tomba et j’aperçus une étoile cousue à même le tissu ; un grand « JUIF » en lettres noires était inscrit dessus. La conséquence était claire : je venais de prendre l’initiative de l’aider, un crime dans cette nouvelle Europe.

Je ne pouvais pas le laisser tomber maintenant, ses yeux suppliants avaient eu raison de moi. Je prenais un gros risque en faisant ça mais peu importe je sentais que c’était mon devoir.

La bouche de l’inconnu s’ouvrit mais aucun son n’en sortit. Je me dépêchais de lui porter un verre d’eau qu’il but d’une traite en me remerciant d’un hochement de tête.

-Je… m’appelle… Ish…maël, Ishmaël

Sa voix n’était qu’un murmure mais j’aimais déjà son intonation suave et sensuelle.

-Je suis juif.

Il me montra son insigne du doigt et se cacha d’une main comme pour se protéger des coups.

Cet être fragile était maintenant sous ma responsabilité, il ne devait même pas avoir dépasser les 20 ans mais son visage creusé, sûrement par les horreurs de la guerre, lui donnait presque 10 ans de plus.

-Tu peux rester ici. Je te protègerais, te cacherais. Ma carte de provision nous suffira à tous les deux. Tu pourras te cacher dans ma cave. Je ne te laisserais jamais tomber, crois-moi.

Pourquoi avais-je lâché cette dernière phrase ? Qu’importe.

Ishmaël esquissa un sourire et posa sa main sur la mienne pour remerciement.

Nous étions en période de dictature nazie et je venais d’héberger un juif chez moi.

Je lui fis couler un bain pour qu'il puisse se relaxer.

Il se deshabilla juste devant moi sans aucune pudeur ni honte. Sa taille fine presque squelettique n'en était pas moins extrèmement attirante. Des muscles se dessinaient déjà sur son jeune torse, ses jambes à peine poilues ne devaient pas faire la moitié de la circonférence des miennes qui je l'admets sont assez fines.

Le long de son dos, de longues balafres, semblables à des rayures de zèbre,.

Je m'approchai et frolai de mes doigts ces cicatrices. Ses poils s'hérissèrent et il se retourna pour me faire face.

De grosses larmes dégringolaient sur ses joue, je le pris dans mes bras et il se crispa. Qu'avait-il donc vécu pour être aussi traumatisé ?

Mes bras se ressérèrent sur son dos et je lui murmurai des mots de réconfort à l'oreille.

Ishmaël se recula et me toisa de haut en bas.

-Et toi, c'est quoi ton nom ?

-Igor

-Alors merci Igor.

Mes lèvres se posèrent doucement sur les siennes sans que mon cerveau ne puisse les en empêcher et elles se retirèrent aussi rapidement qu'elles étaient arrivés.

Un chaste baiser; mais j'avais senti ses muscles se tendre et sa machoire se crisper.

Il pivota et plongea dans son bain un "demi-sourire" planté sur les lèvres que je venais d'embrasser.

Par Mishu - Publié dans : Blind me - Communauté : Les Romances Explosives
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Dimanche 13 avril 7 13 /04 /Avr 18:54

J'essaye de rattraper un minimum mon retard donc voici en exclusivité le chapitre 4 de WWW...


                             
                                                  
     IV

Pour la première fois depuis longtemps, je m'autorisais à faire la "grasse matinée". Lorsque le soleil vint titiller mes paupières à travers les volets je ne fléchis pas.

Même quand Padmé m'appela pour je ne sais quelle raison, mes yeux restèrent obstinément fermés.

La soirée de la veille m'avait plus au moins ébranlé et j'espérais intèrieurement que ce brutal changement d'orientation sexuelle ne me porterait pas préjudice.

L'adoption ? Elle ne m'occupait plus autant la tête qu'avant; maitenant je ne pensais qu'au jeune homme.

Lui... On aurait dit qu'un vieux film passait en boucle dans ma tête avec en héros principal, le jeune blond aux yeux ambrés.

Le matin, l'après-midi, le soir et même la nuit je pensais à lui.

Il occupait mes pensées comme jamais personne ne l'avait encore fait.

Midi. J'ouvris difficilement les yeux et bizarrement je ne me sentais pas plus reposé qu'avant de me coucher.

Je sursautai, le téléphone venait de sonner et mon cerveau n'était pas encore sortie du brouillard "matinal".

-Allo

Ma voix devait sûrement sortir de six pieds sous terre mais qu'importe. Quelle idée d'appeler chez les gens aussi tôt aussi !!

-Bonjour, ici Mme Jones la directrice de l'orphelinat,elle se racla la gorge à travers le combiné, je suis désolée je dérange peut-être.

-Non pas du tout.

-Voilà je vous appelais à propos de votre demande d'adoption, je le répète mais votre profil m'a beaucoup et si ça ne tenait qu'à moi vous auriez déjà adopter.

-Où voulez-vous en venir ?

J'ai toujours detesté les gens qui s'obstine à tourner autour du pot.

-Eh bien il faudrait que vous veniez, votre femme et vous, à l'orphelinat pour eventuellement trouvé l'enfant qui vous plaît mais il faut savoir que même si vous en trouvé et qu'il y a beaucoup de chances qu'il devienne votre enfant, ce n'est pas optimal. Ne vous faites pas de fausses idées avant que l'on soit sûr à 100%.

-Très bien quand doit-on venir ?

-Dans trois jours, à 15h.

-Nous serons là. Au revoir.

-Au revoir, bonne continuation.

Elle raccrocha et je reposai le téléphone sur sa base en refléchissant à la tache qui nous sera confiée dans trois jours.

Quelques minutes après j'appelai Padmé à son travail et lui annonçait la nouvelle. Je dûs reculer le combiné de mon oreille tellement le cri qu'elle poussait me transperçait les tympans. Elle me promit de rentrer au plus vite et j'en conclus que ses besoins sexuels allaient de nouveau avoir besoin d'être assouvis.

Cette perspective de devenir père ne m'enchantait pas comme à mon épouse.

Heureusement qu'aujourd'hui était un de mes jours de congé car je pense que je n'aurai pas pu travailler avec cette pensée en tête.

Le soir venu, une clé tourna dans la serrure et je m'approchai de la porte pour attendre la nouvelle venue. Ma femme se présenta devant la porte et me sauta dans les bras pour m'embrasser. Loin d'être repugné par le contact, cela me dérangeait vis-à-vis de ma récente découverte. Pourquoi le visage de l'ange blond m'apparaissait en flash à la place de la tête de Padmé ?

Sa langue carressant avidemment mes lèvres, sa main passait sur tout mon corps alors que les miennes passaient et repassaient dans ses cheveux blonds magnifiques... Non,non. Les cheveux de Padmé étaient bruns.

Ses pupilles dorées me sondaient de l'intérieur en faisant monter considérablement la température de la pièce.

Un lit...un canapé au plus vite... Le sofa fut la première solution envisageable. L'ange blond s'y allongea en se caressant le torse, se pinçant les tétons, sur lesquels ma langue prenait déjà le relai.

Je les suçai toujours plus fort alors que mon partenaire gémissait de plaisir.

Je remontai et mordillai la peau de son cou, l'embrassait...

Encore plus haut et nos lèvres se joignirent à nouveau toujours plus sensuellement. Je me mouvai sur lui pour faire monter le plaisir et, lui, caressait mon torse en passant ses doigts sur chacune parcelle de peau.

-Retournes-toi

-Quoi ?

-Retourne-toi je t'ai dit !

Docile, il se retourna et mes doigts le pénétrèrent doucement.

Notre première fois serait parfaite.

Je lui pris le menton de ma main libre de sorte qu'il tourne sa tête et qu'il m'embrasse pour que nos langues danse leur balet effreiné.

Après l'avoir bien préparé, j'avançais mon sexe à l'entrée quand j'entendis des sanglots venant de mon bien-aimé.

-Pourquoi tu pleures, mon amour ?

-Pour rien, pour rien.

Je caressai sa joue et m'introduisis en lui très lentement et m'imobilisai, comme si j'avais fait ça toute ma vie.

Seulement quelques minutes, je commençai à bouger dans cette cavité chaude et étroite qui étreignait mon sexe.

Il hurlait de plaisir alors que je continuai mes coups de butoir contre sa prostate.

Ses hurlements devinrent des plaintes et je ne pus que me demander ce qui clochait.Pourtant je faisais tout dans les règles de l'art.

J'accélerai mes coups de rein et les fis de plus en plus fort et puissant.

Un long râle aïgue s'échappa de sa bouche et un liquide blanc s'évacua hors de son sexe qur le drap alors que j'éjaculais à l'intèrieur de lui.

-Je t'aime mon ange

-Moi aussi je t'aime mon chéri et je suis ravi que tu ais voulu essayer ce genre de pratique mais à l'avenir ne recommence plus.

Mes yeux fermés s'ouvrirent d'un coup sous la remarque cinglante et je vis là allongée à côté de moi, à la place de l'ange blond, ma femme.

 
Prochaine M.A.J pour Une famille en crise demain ou après-demain.

Par Mishu - Publié dans : Whatever we want - Communauté : Les Archanges de Sade
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Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 19:16

Tsukiyo: Déjà bienvenue sur mon blog, tes commentaires m'ont fait vachement plaisir et j'espère que tu apprecieras ce nouveau chapitre...

Pour les autres, bonne lecture et ne vous fachez pas à propos de la nullité de ce chap merci...



CHAPITRE NEUVIEME


-Allo

-Mon chéri ?

Kaitlin...Evidemment. Comme si Ian pouvait éviter ce genre de confrontation.

Il se redressa sur le lit de sorte que ses fesses étaient bien visibles à la vue d'Hayden.

-Kaitlin quelque chose ne va pas à la maison ?

-C'est à toi de me le dire, pourquoi n'es-tu pas rentré de la nuit ?

Hayden glissa sa main entre les deux fesses de son amant et commença à le caresser.

-Je...je, j'ai dormi chez Hayden. A cause de la pluie c'était risqué de rentrer donc il m'a proposé de rester et j'ai accepté. Hummmmmmm.

Ian était allongé sur le ventre et Hayden léchait gracieusement la cavité entre ses fesses.

-Ca va, Ian ?

-Oui...mais mon aaaaaah mon portable n'a pres...que plus de batterie ça va couper.

-Ah d'accord eh bien...

Kaitlin n'eut même pas le temps de terminer sa phrase que déjà Ian avait raccroché.

Hayden pénétra doucement son amant et se déchaina dans des coups de rien puissants et rapides. Ian n'en pouvait déjà plus...

Hayden commença à masturber le sexe tendu à l'extrème d'Ian qui hurlait de plaisir.

Tout deux éjaculèrent dans un même râle et se recouchèrent sous les draps.

Ian avait posé sa tête sur le torse de son amant et lui caressait doucement le torse.

-Tu sais, à propos de ce que je t'ais dit hier soir...

-Oui je sais, le coupa Hayden, tu as dit ça sur le coup mais tu ne le pensais pas. Je comprends.

Non, il ne comprenait rien du tout. Les battements du coeur d'Ian qui s'accélerait dès qu'il pensait à lui -ce qui revenait à tous le temps-, l'excitation chaque fois qu'il imaginait son corps nu.

Ce n'était certainement pas sur le coup mais il ne le comprendrait pas.

-Exactement.

Hayden embrassa Ian et se leva en direction de la douche. Ian se rhabilla rapidement prit ses clés de voiture et quitta l'appartement.

Il n'en revenait pas, il s'était laissé prendre par un mec qui n'en avait rien à foutre de lui et qui ne croyait pas à ses mots d'amour.

Il rentra dans sa voiture et mit le contact. Demain, au restaurant, Hayden lui demanderait sûrement des explications mais il improviserait.

 

***********************

-Pourquoi est-ce que tu m'as embrassé hier ?

Joan se balançait doucement sur le balançoire du square public avec Stella assise sur le banc d'à côté.

-Pourquoi ? Tu veux savoir pourquoi ? Parce que je t'aime...

Joan stoppa la balançoire avec ses pieds et arriva à hauteur de son amie.

Les yeux dans les yeux il lui murmura :

-Tu quoi ? Tu...m'aimes ?

La jeune fille hocha la tête, ses longs cheveux ébènes lui tombant sur le visage.

La bouche et les yeux grands ouverts, voilà comment Joan recevait l'information. "N'est-ce pas le propre de l'Homme d'aimer et d'être aimer ?"

Il pouvait toujours essayer une quelconque relation avec Stella. C'est vrai qu'elle était jolie, son corps aux formes avantageuses, ses yeux vairons captivants et sa gentillesse à toute épreuve était ce qui avait poussé Joan à se lier d'amitié avec elle.

Pendant ce temps, Stella appréhendait la réaction de son ami qui changerait tout à leur relation du moment.

Joan, n'en pouvant plus, posa doucement ses lèvres sur celles de son amie. Pourquoi avait-il fui la dernière fois ? Aucune idée,mais ce qu'il savait c'est qu'il adorait ce contact.

Ses dents vinrent mordiller la lèvre inférieur de la jeune fille t sa langue passa à l'intèrieur de sa bouche. Joan posa une de ses mains sur la nuque de Stella pour approfondir le baiser alors que celle-ci faisait déjà passer ses doigts sur le torse de Joan, en dessous de la chemise.

 

 

***********************

Kanye s'efforçait de réconforter son amant : écroulé dans les bras de son amant, Jimmy pleurait toutes les larmes de son corps.

Il avait sonné, à l'aube, au petit appartement qu'occupe Kanye et sa mère. Les yeux rouges, la voix enrouée tout démontrait qu'il avait pleuré, beaucoup pleuré. Jimmy lui avait sauté dans les bras et Kanye n'avait rien pu faire d'autre que de le porter et le poser sur son lit.

Quand son amant lui avait raconté l'épisode avec Kelly, Kanye avait réagi au quart de tour. Le manteau et les Doc enfilés, il se préparait déjà à retrouver cette pestiférée pour lui refaire le portrait.

Seulement, Jimmy avait encerclé le poignet de la main et avait murmuré de sa voix faible :

-Reste avec moi, j'ai besoin de toi pas d'elle...

C'est ainsi qu'il se retrouvèrent à se cajoler sur le lit de Kanye.

Celui-ci caressait le corps de son amant dans tout sa longueur alors aue Jimmy frissonnait sous le contact.

Plus désireux, Kanye, à l'aide d'un coup de rein, prit l'avantage et se retrouva à cheval sur Jimmy qui lui enlevait son tee-shirt.

Le gothique se baissa à l'oreille du jeune homme pour mordiller son lobe d'oreille en y laissant quelques mots :

-Tu es sûr ?

Auxquels Jimmy répondit par un hochement de tête.

-Fais moi oublier...

Kanye ne se fit pas prier et enleva petit à petit le jean de Jimmy, laissant à découvert son caleçon.

 



Eh oui je coupe dès le début d'un lemon (sadique...).



PS : Le prochain chapitre sera Blind me je sais pas quand...lol  

 

 

 

Par Mishu - Publié dans : Une famille en crise - Communauté : Les Romances Explosives
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Dimanche 20 avril 7 20 /04 /Avr 11:33

Alors bon déjà je voulais vous prévenir que pour cette fois, j'essaierai de suivre le contexte historique un minimum mais si quelque fois même souvent ça ne concorde pas bien avec les dates ou quoi que ce soit d'autre je vous prie de m'excuser...
Sinon, chapitre II de BM j'espère qu'il vous plaira même si perso je le trouve pas super mais bon je suis jamais contente de ce que je fais aussi ^^


                            II

 

C'était décidé, il vivrait dans mon grenier. J'avais installé un grand buffet de sorte que la porte soit dissimulé derrière.

L'endroit était petit, peut-être une dizaine de m² qui regroupait la kitchenette, le salon avec un canapé-lit et bien sûr une mini salle de bain.

Il s'installait lorsque des coups à la porte se firent entendre. Je me mis à trembler de peur que l'on découvre le stratagème.

-Caches-toi, lui murmurai-je

-Où ?

-Dans le grenier, ma voix était presque montée dans les aigus tellement j'était excédé.

Il ouvrit la "porte-buffet" et se dissmimula à l'interieur pendant que j'allais voir qui dérangeait.

J'ouvris la porte et une grande blonde me fit un grand sourire.

-Gigi, ça fait plaisir de te voir...

Ce surnom idiot, elle me le donnait depuis que nous étions gamins. Elle était ma confidente, ma meilleure amie et la seule qui était resté en contact avec moi depuis le début de la guerre...

-Anoushka ! Viens entre.

Ma voix sonnait faux mais elle ne semblait pas l'avoir remarqué. Depuis l'arrivé du jeune juif, la nuit dernière, chaque bruit, chaque coups de feu dans la rue, me faisait trembler. Etonnant.

-Alors qu'est-ce que tu deviens ? me demanda-t-elle.

Je ne lui expliquai pas que j'avais recueilli un juif chez moi, que je le cachais, le nourrissais et qu'en plus je l'avais embrassé...

-Oh tu sais, rien de spécial sauf que les bombardements constants me fichent un peu la trouille, lui répondis-je.

Je me levai et lui offrai une petite rasade d'alcool comme remontant. Les temps étaient dures et je savais cela n'allait pas tarder à devenir pire.

C'était vrai, les bombardements et autres coups de feu fusaient dans cette partie de Moscou qui était occupé par les allemands.

Sa visite ne dura guère plus d'une heure et on se dit au revoir en s'enlaçant comme si c'était la dernière fois.

-Au revoir Igor.Je t'aime.

-Moi aussi je t'aime.

Elle quitta la maison et je refermai la porte derrière elle.

Je réalisai, quelques minutes après son départ, qu'elle m'avait appelé Igor pour la première fois depuis très longtemps.Qu'est-ce que je devais en conclure ? Je n'en avais aucune idée mais je me promis de l'appeler plus souvent à partir de maintenant.

Je donnai quelques coups à la porte du grenier pour signifier à Ishmaël qu'il n'y avait plus aucun danger.

Il sortit de la cachette pendant que je préparais le déjeuner et s'assis sur le canapé.

Sa voix me parvint depuis la salon :

-C'était qui ?

-Ma meilleure amie, Anoushka.

Soudain, la voix se fit plus forte et je sentis deux bras enlacer ma taille. Je me retournai et vit mon protégé,ses grands yeux noirs me fixant.

-Qu'est-ce que tu fais ?

Sa proximité m'effrayait et m'excitait à la fois. Ses lèvres frolèrent les miennes et en essayant de reculer, je me brûlai légèrement l'annulaire sur la gazinière.

Le remarquant, Ishmaël prit mon doigt et le lécha sur toute sa longueur tout en me fixant. Il mima une fellation sur mon doigt et déjà l'excitation se voyait à travers mon pantalon.

Il lâcha mon doigt et s'approcha, d'une lenteur calculée, de mon visage.

Ses lèvres suçotèrent les miennes et les aggripèrent pour que nos deux bouches ne fassent plus qu'une.

Sa langue caressait et passait dans chaque recoins de ma bouche pendant que ses mains passaient sous mon t-shirt et pinçaient mes tétons déjà durcis.

Alors qu'il s'occupait à découvrir chaque parcelle et chaque cm² de mon corps, je me crispai et réalisai la situation. Mes mains se posèrent sur ses épaules et le reculèrent de plusieurs pas.

-Je ne peux pas, murmurai-je à son attention.

Il se rapprocha à la même proximité que quelques minutes plus tôt et me chuchota à l'oreille:

-Je t'aurais, ne t'inquiètes pas...

Il mordilla mon lobe d'oreille et quitta la pièce pour retourner dans sa cachette.

 

                                                    ~~    ~~
                                           Whatever we want 
                                                      OU
                                           Une famille en crise
                                                      ????
                                            ~~     ~~

                           

                                                                          

 

 
Par Mishu - Publié dans : Blind me - Communauté : Les Romances Explosives
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